« Dans la partie basse de l’armoire, la penderie supportait toujours les vêtements de Johanne. Forcément. Des couleurs se mirent à chanter. Petites robes perdues découvrant à nouveau la lumière. Blue-jeans usés redemandant du service. Chemisiers désireux de sueur. Je ne sais ce qui me retint de plonger dans cet océan de tissus, de me transformer en elle en enfilant ses affaires ».